De l’angoisse à l’harmonie : explorez votre existence par la sophrologie
De l’angoisse à l’harmonie : explorez votre existence par la sophrologie
Patricia Penot
Publishroom
« Tout a commencé par une banale histoire de chat qui a failli mourir sous les pneus d’une voiture à Fontainebleau. C’est à cet instant qu’Abigaëlle a eu le « déclic ». Eternelle angoissée de la vie, elle a alors décidé de suivre un accompagnement en sophrologie, pour sortir de son angoisse et gagner en harmonie. Faites une expérience captivante ! Utilisez l’histoire d’Abigaëlle pour faire évoluer votre propre histoire. Prises de conscience, réflexions et expérimentations seront les ingrédients de votre évolution personnelle. »
Comme vous le savez, je lis régulièrement des livres de développement personnel et j’aime beaucoup les romans de développement personnel, que je trouve souvent plus accessibles et plus faciles à lire. Celui-ci m’a laissé une impression mitigée.
Nous rencontrons Abigaëlle, jeune femme de nature assez angoissée qui décide de se prendre en main et de s’essayer à la sophrologie. Si je suis convaincue par les bienfaits de la sophrologie, c’est la narration qui m’a laissée un peu perplexe. Le personnage d’Abigaëlle est trop transparent, elle est très prévisible et c’est un peu dommage. De plus, lorsqu’elle s’exprime, cela fait peu naturel… on a l’impression qu’elle récite un texte appris par coeur, c’est assez troublant.
Au cours de ma lecture, je n’ai pas vraiment eu la sensation d’être dans un roman… J’ai oscillé entre présentation de la sophrologie et passages romancés. Cependant, les passages informatifs étaient souvent longs et denses. J’ai trouvé que cela cassait le rythme de na narration. Le côté roman et fiction n’était pas assez développer à mon sens. Ils tournaient beaucoup trop autour de la sophrologie et de ses préceptes. Il manquait, pour moi, d’une véritable histoire, avec des personnages plus ancrés et plus complexes.
C’est dommage, car l’idée d’un roman autour des bienfaits de la sophrologie est intéressante… cependant je ne me suis pas retrouvée dans celui-ci. Il était trop informatif.