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Et après, je fais quoi?
Cette deuxième grossesse m’a menée à de nombreux questionnements… Dont certains deviennent obsessionnels, j’y pense nuit et jour… Je m’interroge sur mon avenir professionnel… Je fais quoi après la naissance de ce deuxième enfant? Où je vais? Qu’est-ce que je fais?… Je devrais peut-être me tranquilliser, me dire que j’ai le temps. Mais au fond l’ai-je vraiment le temps? Ca passe vite une grossesse… Ca grandit vite un enfant… Et la perspective de me retrouver une fois de plus dans le flou, la tête dans le mur ne m’enchante pas… alors j’anticipe, mais ça m’angoisse car mes réflexions ne me mènent nulle part pour l’instant. Mon parcours professionnel est jugé…
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Comme un truc à vous dire…
En février dernier, je vous avais parlé de notre souhait d’agrandir la famille… Je n’avais pas envie de me prendre la tête, je voulais laisser faire le temps tranquillement, et c’est ce qui s’est passé. Aujourd’hui, je suis très heureuse de vous annoncer que deux petons poussent sous mon bidon! Un petit être viendra agrandir notre famille en août, pour notre plus grand bonheur! Mon premier trimestre a été compliqué… Une immense fatigue, des nausées du matin au soir, des remontées acides toute la nuit… Beaucoup de mal à m’alimenter car le fait de cuisiner (n’importe quel aliment) me donnait une nausée de dingue qui m’empêchait ensuite d’avaler quoi que…
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Sa première amitié
Petit Girafon n’a jamais été en collectivité, pour autant il a toujours été très sociable, il a toujours aimé la compagnie d’autres enfants. Il s’entendait déjà très bien avec Petit V… ça lui a fait bizarre quand il s’est retrouvé tout seul à la fin du contrat. Mais cette relation n’avait vraiment rien de comparable à celle qui lie Petit Girafon et Petit A. Le fait qu’ils n’aient que neuf mois de différence doit y jouer. Je prends vraiment un réel plaisir chaque jour à les regarder, à les observer. Une vraie entente est très vite née entre eux, et une complicité évidente les lie. Il est peut-être un peu…
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Ces bonheurs ordinaires
On passe notre temps à courir, à manquer de temps, à se dépêcher… Si bien qu’on en oublie trop souvent de voir ces petits bonheurs ordinaires qui jonchent nos quotidiens. Mes beaux-parents en or, sont venus passer 10 jours chez nous et j’ai pris en plein coeur tous ces bonheurs ordinaires. J’essaie chaque jour de vivre l’instant présent, d’être à ce que je fais, de ne pas laisser passer ces moments uniques et éphémères qui nous fabriquent de beaux souvenirs. Avec la présence de mes beaux-parents j’ai pu encore plus les apprécier. Ces bonheurs ordinaires, sont comme je le dis… ordinaires. Ils sont simples, sans chichi… ils sont la vie.…
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Petite coupure, petit bol d’air
Nous nous évadons rarement… Peu de congés, peu de moyens aussi… Alors quand mes grands-parents nous ont proposé de venir passer un petit week end avec eux à Luchon, nous avons sauté sur l’occasion! Nous nous sommes donc retrouvés quatre générations le temps d’un week end au grand air. Papa Girafe s’est essayé au ski mais a vite lâché l’affaire, laissant les pro arpenter les pistes enneigées. Moi, je sais skier mais je déteste ça, donc j’ai préféré initier Petit Girafon à la luge! Il a pu faire un tour de luge avec son arrière grand-mère (grand souvenir!), avec son Tonton-dans-la-Lune, son papa… et puis moi… j’ai été un remonte-luge…
